Hello tout le monde !
Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman La diagonale des reines de l’auteur Bernard Werber.
♥ = Bof bof, à éviter
♥♥ = Sympa, sans plus
♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !
♥♥♥♥ = A lire absolument !
♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !
Les (♥) représentent les demis
L’image provient de mon instagram.
Nombre de pages: 480 pages
Maison d’édition: Albin Michel
Date de parution (dans cette édition): 28 septembre 2022
4ème de couverture:
Et si vous n’étiez qu’un pion dans leur jeu ?
Deux femmes, deux destins, deux visions opposées du monde.
L’une croit dans la force du groupe.
L’autre en l’individualisme.
Leur duel est inévitable… laquelle aura l’avantage ?
Des années 1970 à 2050, entre guerres, attaques terroristes et espionnage, elles vont s’opposer sans répit et sans merci. Leur terrain de jeu s’étend aux quatre coins de la planète, devenue un échiquier géant dont les humains sont les pièces.
Dans ce roman puissant, porté par deux héroïnes exceptionnelles, Bernard Werber ajoute l’art de la stratégie à ses thèmes de prédilection pour nous entraîner dans une aventure contemporaine fascinante et visionnaire.
Mon avis:
Un roman qui m’a beaucoup plu mais dont j’ai trouvé le trait un peu grossier pour que ce soit un coup de coeur.
L’écriture de Bernard Werber est dynamique, bien rythmée, on ne s’ennuie pas une seconde. Les chapitres sont entrecoupés comme à l’habitude de l’auteur par des passages de son encyclopédie du savoir relatif et absolu.
Les personnages principaux, deux femmes qui vont se croiser durant toute leur vie après la fameuse partie d’échecs qu’elles vont jouer l’une contre l’autre et qui va très mal se terminer. Elles vont ensuite choisir des chemins drastiquement opposés et vont se servir des pouvoirs et moyens mis à leur disposition pour se faire du mal par effet domino.
Si ce roman m’a fait penser un peu à l’échiquier du mal de Dan Simmons, il est beaucoup plus soft que ce dernier et ne contient pas de surnaturel. De plus, tout va très vite, on passe d’une époque à une autre très rapidement.
Les deux femmes sont presque des caricatures d’elles-mêmes tant elles n’ont pas vraiment de nuances. Elles restent fixés sur leurs idées et ne changent pas d’un iota de tout le livre, malgré les dommages collatéraux. Elles sont aveuglées par la haine qu’elles se vouent.
Bref, un roman qui m’a fait passer un bon moment de lecture (et c’est le plus important!) mais malheureusement pas mon préféré de l’auteur.