Coucou tout le monde !
Je reviens aujourd’hui pour vous présenter mes lectures du mois de septembre 2019.
Les résumés et les images ont été pris sur Amazon.
Livres lus durant le mois : 8
♥ = Bof bof, à éviter
♥♥ = Sympa, sans plus
♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !
♥♥♥♥ = A lire absolument !
♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de coeur !
Les (♥) représentent les demis
Le Schmock – Franz-Olivier Giesbert
Nombre de pages: 416 pages
Editeur: Gallimard
Date de parution (dans cette édition): 16 mai 2019
Résumé:
J’écris des romans pour raconter des histoires. Depuis longtemps, j’en avais une qui me courait dans la tête et qui se déroulait dans l’Allemagne nazie du siècle dernier, en Bavière. Une histoire d’amour, d’amitié. Malgré toutes mes lectures sur la période hitlérienne, je n’ai jamais réussi à comprendre pourquoi tant d’Allemands « bien », respectables, avaient pris à la légère la montée du nazisme tandis que les Juifs tardaient étrangement à fuir. Par quelle aberration, à cause de quelles complaisances, quelles lâchetés, le nazisme fut-il possible ? Qu’était-il arrivé à ce grand pays de musiciens, de philosophes et de poètes ? Ces questions-là n’ont jamais cessé de me hanter. Je crois que l’histoire d’Elie, Elsa, Lila, Karl et les autres apporte quelques clés. Après tout, il n’y a que les fous pour tenter de répondre à ce genre de questions, les fous ou les personnages de roman. Franz-Olivier Giesbert
Mon avis:
J’ai eu un gros coup de coeur pour ce roman prenant place lors de la seconde guerre mondiale et la montée au pouvoir d’Hitler. On y suit deux familles, l’une juive et l’autre pas et leurs destins si différents. Un roman qui se lit très facilement, l’écriture est fluide et le sujet vraiment bien amené. Le début est un peu bizarre et lent mais ensuite on se fait très vite entraîner pour ne plus en sortir qu’après avoir lu la dernière page. J’ai hâte de découvrir les autres livres de cet auteur (je crois que j’ai l’arracheuse de dents dans ma pile à lire).
Ma note: ♥♥♥♥♥
L’ombre du renard – Nicolas Feuz
Nombre de pages: 317 pages
Editeur: Slatkine & Cie
Date de parution (dans cette édition): 22 août 2019
Résumé:
Après Le Miroir des âmes, une nouvelle enquête du procureur suisse, parti en Corse sur les traces d’un trésor nazi englouti…
Le 16 septembre 1943, alors que les Alliés s’apprêtent à libérer la Corse de l’occupation nazie, un convoi SS quitte un couvent situé sur les hauteurs de Bastia en emportant une mystérieuse cargaison. Chargées sur une barge à destination de l’Italie, les caisses sont victimes d’un bombardement américain et finissent englouties au large du Cap Corse.
Ainsi naît la légende du Trésor de Rommel, qui suscitera bien des convoitises et engendrera de somptueuses dépenses en recherches sous-marines durant plus de 70 ans. Toutes infructueuses.
Jusqu’à ce jour de l’été 2018 où un lingot d’or caractéristique réapparaît en Suisse, à côté du cadavre d’un vieux bijoutier de Neuchâtel. Le premier d’une longue série, qui va entraîner le procureur Norbert Jemsen, sa greffière Flavie Keller et l’inspectrice Tanja Stojkaj dans un tourbillon mortel entre la Suisse et la Corse.
Mon avis:
Mon avis complet est juste ici 🙂
Ma note: ♥♥♥♥♥
Une maison jaune – Abigail Seran
Nombre de pages: 302 pages
Editeur: Plaisir de lire
Date de parution (dans cette édition): 23 décembre 2015
Résumé:
Sous le toit d’une maison jaune, trois destins féminins s’entremêlent…
Un jour, Charlotte découvre dans la maison de maître où elle a récemment emménagé avec sa mère des petits papiers écrits bien des années auparavant. Curieuse, elle décide de remonter la trace de ces mots. Il s’avère qu’entre ces murs, deux autres adolescentes ont vécu avant elle : Léonie, issue d’une famille de notables de l’entre-deux-guerres et Pia, émigrée italienne dans les années cinquante. Chacune d’entre elles fera un bout de chemin dans cette maison qui aurait dû être jaune avec des destins bien différents. Pia, Charlotte et Léonie, trois univers entrelacés à ce moment de la vie si particulier qu’est le passage à l’âge adulte. D’une écriture pleine de justesse et de retenue, l’auteure nous fait traverser le vingtième siècle, au gré des doutes, des espoirs et des certitudes de ses héroïnes. Une histoire au suspense savamment tissé qui pourrait bien dévoiler que cette demeure n’est pas le seul point commun de ces jeunes filles.
Le portrait de trois jeunes femmes du XXe siècle, si différentes et si semblables.
Mon avis:
Ce livre, qui raconte l’histoire de 3 femmes à travers les âges qui ont en commun la fameuse maison jaune (qui ne l’était pas vraiment d’ailleurs) du titre m’a vraiment transportée. Léonie, jeune fille issue d’une famille noble, obligée de subir un mariage arrangé dans l’entre-deux guerres. Pia, jeune immigrée italienne dans les années 50, qui découvre l’amour et le désir au contact d’une jeune pianiste talentueuse… et finalement Charlotte, adolescente d’aujourd’hui, qui découvre elle aussi les premiers émois amoureux, tout en menant son enquête sur les habitantes précédentes de la maison où elle habite avec sa mère. J’ai vraiment adoré ce roman qui mêle passé et présent, je l’ai trouvé vraiment passionnant et touchant à la fois. Une très belle découverte.
Ma note: ♥♥♥♥♥
La disparition de Stephanie Mailer – Joël Dicker
Nombre de pages: 635 pages
Editeur: Edition de Fallois
Date de parution (dans cette édition): 7 mars 2018
Résumé:
30 juillet 1994. Orphea, petite station balnéaire tranquille des Hamptons dans l’État de New York, est bouleversée par un effroyable fait divers: le maire de la ville et sa famille sont assassinés chez eux, ainsi qu’une passante, témoin des meurtres.
L’enquête, confiée à la police d’État, est menée par un duo de jeunes policiers, Jesse Rosenberg et Derek Scott. Ambitieux et tenaces, ils parviendront à confondre le meurtrier, solides preuves à l’appui, ce qui leur vaudra les louanges de leur hiérarchie et même une décoration.
Mais vingt ans plus tard, au début de l’été 2014, une journaliste du nom de Stephanie Mailer affirme à Jesse qu’il s’est trompé de coupable à l’époque.
Avant de disparaître à son tour dans des conditions mystérieuses.
Mon avis:
J’avais beaucoup aimé les deux romans précédents de l’auteur et j’avais vraiment hâte de me plonger dans ce nouveau roman, bien que finalement il a traîné plus d’une année dans ma pile à lire. Comme d’habitude, quand j’entends trop parler d’un livre, ça ne me donne pas tellement envie de le lire… donc j’ai laissé un peu le soufflé redescendre et je me suis lancée ! Et bien franchement, Joël Dicker a vraiment le don pour nous créer des intrigues complexes et qui tiennent vraiment bien la route ! Comme d’habitude avec cet auteur, je me suis bien fait rouler dans la farine !! Un roman vraiment bien ficelé et qui est encore un cran au-dessus de ses précédents romans. Il y a beaucoup de personnages mais chacun a son petit moment à lui et on arrive bien à faire le lien entre eux. Un sacré roman qui j’espère sera porté sur le petit ou grand écran prochainement !
Ma note: ♥♥♥♥♥
Nous étions nés pour être heureux – Lionel Duroy
Nombre de pages: 222 pages
Editeur: Julliard
Date de parution (dans cette édition): 22 août 2019
Résumé:
Depuis trente ans, Paul a fait de son histoire familiale, et du désastre que fut son enfance, la matière même de ses romans. Une démarche que ses frères et soeurs n’ont pas comprise, au point de ne plus lui adresser la parole pendant de longues années. Et puis arrive le temps de la réconciliation. Paul décide de réunir à déjeuner, dans la maison qui est devenue son refuge, tous les protagonistes de sa tumultueuse existence : ses neuf frères et soeurs, leurs enfants et les siens, et même ses deux ex-femmes.
Viendra qui voudra. Et advienne que pourra.
Le temps d’un singulier repas de famille, Lionel Duroy parvient à reconstituer tous les chapitres essentiels de la vie d’un homme. Avec sa profondeur psychologique habituelle et l’élégance de son style, il livre ici un récit vibrant de vérité sur les liens indestructibles de l’enfance, la résilience et la paix enfin retrouvée.
Mon avis:
Oh quelle déception que ce roman !En début d’année, j’avais adoré Eugenia, de ce même auteur. Du coup, quand lors d’une virée en librairie j’ai vu que l’auteur avait sorti un nouveau roman, je l’ai de suite acheté, sans même lire la 4ème de couverture. Et bien, je pense que j’aurais vraiment dû m’abstenir. Alors attention, le roman n’est pas mauvais, ce n’est pas ce que je dis. Mais en comparaison à son précédent roman, il ne se passe presque rien dans ce roman qui décrit juste des retrouvailles lors d’un dîner entre les différents membres d’une famille qui s’étaient brouillés à cause des livres qu’écrit le narrateur de l’histoire. Bref, j’avoue m’être un peu ennuyée, heureusement qu’il était vite lu 😦
Ma note: ♥♥
Féline – Bu Hui-Ryeong
Nombre de pages: 166 pages
Editeur: Picquier poche
Date de parution (dans cette édition): 3 mars 2016
Résumé:
Voici un chat errant, qui doit surmonter les difficultés de la vie après la disparition de sa mère.
Voici une adolescente un peu sauvage, qui vit seule avec sa grand-mère et fuit le contact avec les autres, de peur d’être blessée.
Tous deux se rencontrent dans un parc, et aussitôt, le chat croit reconnaître en elle un de ces êtres de légende qui comprennent le langage des chats. C’est sûr, ils sont faits l’un pour l’autre !
Une belle histoire d’amitié entre un jeune chat vagabond et une adolescente, qui apprennent ensemble à affronter la vie, leurs peurs et leur solitude.
Mon avis:
Ce livre retrace la rencontre entre un jeune chat et la jeune fille qu’il a choisi (malgré elle) comme maîtresse. Ce roman est une sorte de fable moderne, il ne s’y passe pas grand chose finalement mais il est touchant et j’aime le fait qu’il soit narré par le chat. Un livre poétique sur l’attachement homme-animal et sur le besoin d’appartenance que nous avons besoin de ressentir parfois (bande d’amis, famille, etc.).
Ma note: ♥♥♥♥
La vérité sur le mensonge – Benedict Wells
Nombre de pages: 220 pages
Editeur: Slatkine & Cie
Date de parution (dans cette édition): 12 septembre 2019
Résumé:
Laissez-vous embarquer dans le monde du jeune prodige allemand, auteur du bestseller La Fin de la solitude. Dix grandes histoires très différentes, d’un monde dans lequel mensonges, rêves, vérités se croisent et se confondent. Tour à tour touchantes, drôles, surprenantes et, souvent, inoubliables.
Dix grandes histoires sur des petits riens, et pourtant sur l’essentiel.
Des histoires sur le malheur d’être libre, et sur une femme confrontée à une décision existentielle. Des histoires à propos d’un endroit où personne ne veut aller, mais qui devient pourtant un foyer. À propos d’un scénariste d’aujourd’hui qui, en panne d’inspiration, est catapulté dans le Hollywood des années 70, où il pourrait voler l’idée du film qu’il sait être le plus célèbre du XXe siècle. Et, enfin, des histoires tirées de La Fin de la solitude, éclairant enfin un sombre secret de famille et un rêve d’enfant…
Dix grandes histoires très différentes, d’un monde dans lequel mensonges, rêves, vérités se croisent et se confondent. Tour à tour touchantes, drôles, surprenantes et, souvent, inoubliables.
Mon avis:
Mon avis complet est juste ici 🙂
Ma note: ♥♥♥♥
Sans âme [le protectorat de l’ombrelle, tome 1] – Gail Carriger
Nombre de pages: 432 pages
Editeur: Le livre de poche
Date de parution (dans cette édition): 18 avril 2012
Résumé:
Miss Alexia Tarabotti doit composer avec quelques contraintes sociales. Primo, elle n’a pas d’âme. Deuxio, elle est toujours célibataire. Tertio, elle vient de se faire grossièrement attaquer par un vampire qui ne lui avait même pas été présenté ! Que faire ? Rien de bien, apparemment, car Alexia tue accidentellement le vampire. Lord Maccon – beau, compliqué, écossais et loup-garou – est envoyé par la reine Victoria pour démêler l’affaire. Des vampires indésirables s’en mêlent, d’autres disparaissent, et tout le monde pense qu’Alexia est responsable. Mais que se trame-t-il réellement dans la bonne société londonienne ? Vampires, loups-garous et aristocrates : un réjouissant mélange de romanesque et de fantastique !
Mon avis:
Un roman de bit-lit drôle et intéressant à la fois et qui apporte un souffle nouveau au genre. En effet, l’héroïne, Alexia Tarabotti, est une sans-âme ce qui veut dire qu’à son contact, vampires, loups-garous et autres joyeusetés perdent immédiatement (ou presque) leurs pouvoirs qui sont dès lors inutilisables contre elle. Suite à la mort ou la disparition de plusieurs jeunes vampires, Alexia et le responsable du bureau des créatures surnaturelles, Lord Maccon, un beau spécimen de loup-garou, vont enquêter pour comprendre qui est derrière cette affaire. J’ai vraiment été entraînée dans le récit que j’ai trouvé palpitant et bien mené. Je pense lire dans les prochaines semaines le tome 2.
Ma note: ♥♥♥♥
Et voilà, c’est tout pour mes lectures du mois de septembre, j’ai toujours plus de retard dans mes chroniques et j’en suis navrée.
Et vous, qu’avez-vous lu dernièrement ?
Bisous !