Vous vous souvenez peut-être de cette vidéo sur mes cadeaux d’anniversaire, à l’occasion de mes 27 ans : après avoir tourné autour pendant des mois, j’ai finalement soufflé l’idée d’une liseuse numérique à mon chéri. Après avoir pas mal tergiversé entre les deux géants côté tablettes de lecture (Kobo côté Fnac et Kindle côté Amazon), j’ai fini par opter pour une Kobo, modèle Glo (= rétro-éclairé). Un an après, quel est mon bilan à son sujet ?
Plutôt qu’un article de 20 pieds de long, je vais aller à l’essentiel, et vous lister les points positifs et négatifs selon ma propre expérience.
Tout d’abord, les points positifs :
– Je lis davantage : les faits sont là et ça me réjouit ! La liseuse est très compacte et se transporte partout (pour peu qu’on protège l’écran avec une housse – voici celle que j’ai choisie et que j’adore!).
– La manipulation est super simple : l’écran tactile n’a rien de la qualité d’un iPhone (en même temps, on n’en demande pas tant), toutefois la navigation est claire et simple. On accède facilement à sa bibliothèque, et aux autres livres proposés. J’ai personnellement opté pour un modèle avec wi-fi qui me permet de ne pas être dépendante de mon ordinateur en vacances (= pas besoin de connecter sa liseuse pour ajouter des livres).
– Le rétro-éclairage n’est pas un gadget : bien au contraire, car il permet de lire en toutes conditions (dans un avion un peu sombre, quand on est installé dans son canapé et qu’on ne souhaite pas allumer la lumière…). C’est mon compagnon idéal pour mon travail de nuit, lorsque je souhaite lire sans réveiller mes patients, qui sont dans la même pièce que moi.
– On n’a pas l’impression de tenir une tablette entre ses mains : l’écran est très mat, et reproduit plutôt bien une impression sur papier. Je ne ressens aucune fatigue oculaire, même après des heures de lecture en mode rétro-éclairage. De plus, la Kobo est très légère, et se tient d’une main sans avoir l’impression de soulever une enclume.
– La personnalisation du produit est très intéressante : type et taille de police, épaisseur des caractères, annotations, possibilité de surligner des passages… Chaque Kobo s’adapte aux besoins de son lecteur.
La vie est très dure ici… Je profite de la piscine avant mon retour demain matin ! " class="wp-smiley" style="height: 1em; max-height: 1em;" />" class="wp-smiley" style="height: 1em; max-height: 1em;" /> Je suis très reconnaissante de toutes ces belles choses, découvertes, repas partagés… que j’ai pu vivre ici mille mercis aux Laboratoires Pierre Fabre ✌" class="wp-smiley" style="height: 1em; max-height: 1em;" />" class="wp-smiley" style="height: 1em; max-height: 1em;" />️ " class="wp-smiley" style="height: 1em; max-height: 1em;" />" class="wp-smiley" style="height: 1em; max-height: 1em;" /> Je vous parlerai de ce livre dans mes favoris de juillet… C’est un coup de coeur #capdecastel #kobo #agnesledig #mariedenhaut #triangl #fouta #piscine #marinière
Une photo publiée par Mariel (@leblogdeneroli) le 19 Juil. 2016 à 9h33 PDT
– Ma valise de vacances s’est considérablement allégée : je ne vais pas vous faire un dessin, mais objectivement, c’est fou la place que ça fait gagner ! Je suis une grande consommatrice de livres, principalement pendant mes vacances d’été. Mention spéciale pour les nouvelles sorties littéraires, en tête de gondole, qui ne sont pas encore proposées au format poche, et qui m’encombraient particulièrement !
Enfin, passons aux points négatifs :
– Côté rentabilité, c’est raté : après avoir investi plus d’une centaine d’euros pour la liseuse (+ une trentaine d’euros pour une coque ou une housse), on s’attend tout simplement à économiser sur les livres par la suite. Bien qu’un format numérique soit par principe peu coûteux (pas de transport, pas de papier, pas d’impression, pas d’intermédiaire de vente), il semblerait que proposer des prix réduits ne soit pas encore d’actualité. Ainsi, on gagne au mieux quelques euros par roman… Pour même parfois dépenser davantage que pour un format poche. Rageant !
– On perd un peu le plaisir du papier : feuilleter un livre en librairie, lire la quatrième de couverture, compter le nombre de pages avant un probable dénouement… Autant de « réflexes » de lecture qu’il faut perdre, pour en apprivoiser d’autres. Ainsi, on découvre son avancement de lecture en terme de pourcentage (exemple : 60% du livre lu) ou en nombre d’heures restantes (estimé par rapport au nombre de pages tournées à la minute). J’ai fini par trouver l’équilibre idéal : je continue à faire mes repérages en librairie conventionnelle, puis je prends des notes pour finir par acheter les livres qui m’ont plu sur la plateforme Kobo.
– Aucun chargeur n’est fourni : seul un bête câble de chargement vous permettra de brancher votre liseuse en USB ; j’aurais vraiment apprécié la présence d’un chargeur secteur.
En bilan : malgré ces quelques points négatifs, je ne regrette pas du tout d’avoir adopté cette liseuse qui me dépanne beaucoup et me permet de la transporter partout.
Si, toutefois, votre cœur balance plutôt du côté de la marque Kindle, voici un modèle relativement équivalent au mien.
Possédez-vous une liseuse ? Est-ce un achat que vous avez projeté de faire ? ♡