Ici à Barcelone, la France me parait bien loin, pourtant en 3h de TGV, nous avons vite fait de nous rendre au coeur de la capitale de la Catalogne. Nous avons loué un appartement – avec Airbnb – un peu excentré mais facilement accessible par le métro. Pendant 4 jours, nous avons cavalé dans les rues de la ville, afin de profiter de son architecture, de ses boutiques – raisonnablement – et de sa vie nocturne.
Depuis notre retour de road-trip fin 2013, nous n’avions pas mis les pieds hors des frontières françaises. Comme c’est agréable d’entendre parler une langue étrangère, de voir ces petites différences culturelles. Ce qui m’a le plus frappé, c’est la foule, les gens qui dansent, boivent, parlent fort, font la fête jusqu’au petit matin. Barcelone est une ville vivante, bruyante, où tout va très vite !
Remarque : nous sommes venus plusieurs fois à Barcelone, et avons privilégié les monuments que nous n’avions pas visités précédemment.
Voici la façade ouest de la Basilique de la Sagrada Familia (celle qui représente la Douleur). S’il y a bien un monument à voir à Barcelone, c’est l’oeuvre magistrale d’Antoni Gaudi. Sa construction commença en 1882 comme temple expiatoire, grâce aux dons désinteressés des barcelonais. La fin des travaux est prévue en 2026 (et pas sûr que ça soit terminé à cette date !)
Juste au-dessus de la Sagrada Familia, nous sommes allés visiter l’Enceinte moderniste de Sant Pau, une des oeuvres les plus représentatives de l’architecte Louis Domenech i Montaner, un nouvel hôpital inauguré en 1930, pour répondre à la demande sanitaire de la ville.
Cette enceinte moderniste s’est transformée en un centre de connaissance et de recherche avec l’installation d’organismes internationaux d’avant-garde qui travaillent dans les domaines de la santé, de la durabilité et de l’éducation.
Dans un des pavillons de San Pau, il y a une exposition « Lumière profonde » sur l’art-thérapie et l’accompagnement en fin de vie. Les travaux dont se compose l’exposition transmettent un message d’espoir : le dépassement progressif de la douleur causée par la perte imminente de la propre vie ou du décès d’un être aimé. Tu peux aussi participer à cette oeuvre en y apportant une action créative.
Place Espanya, nous nous sommes rendus dans les jardins et le musée national d’Art de Catalunya : on y trouve une grande collection de peinture romane mais aussi de l’art moderne.
A Glories, nous avons admiré la tour Agbar de l’architecte Jean Nouvel et le musée des arts de l’objet et du design – qui était fermé pour cause de grèves…
Juste à côté, il y a un marché couvert, avec une magnifique toiture qui reflète le sol ! Où est Charlie ?
A côté de la Casa Batllò – joyau architectural d’Antoni Gaudi, vous trouverez la Casa Amatller qui montre la singularité du Modernisme catalan… On peut aller siroter un chocolat chaud et profiter de la cour et des magnifiques mosaïques.
A Barcelone, nous avons découvert 2 excellents restaurants :
1/ le Teresa Carles est un restaurant végétarien (qui propose aussi des plats véganes ou sans gluten) – qui vend de merveilleux jus Teresa’s Juycery, pressés à froid – le coco masalachai est une petit merveille – 2/ le Veggie Garden, végane, avec des prix plus doux – 8€50 le menu – dans les deux cas, vous repartirez la panse bien remplie !
Au centre commercial, nous sommes tombés sur ce coiffeur assez spécial : un coiffeur dédié uniquement aux enfants !
Ici s’achève ce week end prolongé que j’avais envie de partager avec vous via ces images piochées dans mon téléphone !
Je vous dis à bientôt !