Mais ces peurs n’enlèvent en rien mon besoin viscéral d’échanger. Pas avec tout le monde bien sur. Avec des personnes qui me sont chères. Ces personnes qui sont là à 2 heures du matin quand ca ne va pas, ces personnes qui savent vous redonner le sourire ; ou encore ces même personnes qui font partie des meilleurs moments.
On dit souvent que les amis se comptent sur les doigts d’une main et bien moi j’en ai deux. Un meilleur ami (coucou Jo si tu passe par là) et une meilleure amie (salut Caro !). Pas besoin d’en rajouter pour compléter cette main à deux doigts. Elle me convient comme ça.
Les amis font parfois « partie » de la famille c’est vrai. Je ne saurais pas qualifier la différence entre l’amour porté à un ami et celui porté à son frère… Il n’y en a peut être pas ; cela dépend certainement de l’ami et du frère. Ou c’est peut être nous qui définissons l’importance de ces sentiments en fonction de notre ressenti, notre vécu et puis selon les personnes.
Mon cœur est divisé en deux. Deux parties qui au fond ne sont pas réellement délimitées. Parfaitement distinctes… pas tant que ca en fait… ou peut être que si ? Peut être que c’est moi qui n’arrive pas à expliquer cette limite ? Bref… passons.
Une partie pour mon amour et l’autre pour l’amitié. VoilàMais ne faut il pas de l’amitié avec la personne qui partage notre vie ? Nos meilleurs amis ne sont pas la projection de notre idéal masculin et féminin ? Peut être…
Ou peut être qu’au final tout cela n’a pas réellement de l’importance. Parce que ce qui est important à mes yeux, c’est l’authenticité, la simplicité et l’intensité de ces amitiés. Sans eux je ne serais pas vraiment moi ; et je l’espère sans moi dans leur cœur ils ne seraient pas exactement eux…
A Caroline, Johnny, Francette et la familia ♥