Aujourd'hui, c'est avec un article humeur que je vous reviens. Il est très court, ne fait que quelques lignes que j'ai écrites sous le coup de l'inspiration. J'ai toujours beaucoup aimé écrire, jouer avec les mots pour parler un peu de moi. J'ai d'ailleurs noircis des cahiers et des cahiers durant mon adolescence (personne ne m'aime, je n'aime personne, pitié dites moi que vous étiez aussi ce genre d'ado torturée pour rien) et parfois, ça me reprend, et mes doigts vont et viennent tout seuls. Et ça donne ça.
J'ai peur que ça ne plaise pas, peur de dire n'importe quoi.
Je sais, je ne devrais pas, on clame qu'il faut se foutre de l'avis des autres et vivre pour soi. J'aime vivre, j'aime ce que je fais mais j'ai, quand même, toujours cette petite intuition qui me titille et me susurre que chez les autres, c'est plus joli, plus doux, mieux écrit.
J'ose pas vraiment, je préfère fuir le conflit, on m'a inculqué, petite, que la franchise est une qualité mais que parfois, il vaut mieux tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler. Je sais pas, c'est peut-être moi, c'est peut-être un peu naïf, mais j'ai tendance à tenter de voir le meilleur en chacun.
Et puis, c'est si facile de taper une insulte, une critique sur son clavier, je suis trop sensible.
Et j'admire ces filles qui passent au-dessus de ces insultes. C'est l'expérience, sûrement, qui permet de s'endurcir et moi, je suis toute petite dans l'immensité du web et je suis trop sensible.
Je vous embrasse,source image
J'ose pas poser devant mon objectif et présenter des tenues. J'ai peur de la critique facile, gratuite et méchante, je suis trop sensible.
J'ose pas vraiment aller vers les gens, notamment sur internet. Surtout dans ce monde de filles dans lequel je ne me sens pas forcément à l'aise mais que j'aime pour autant. J'ai toujours peur de mal faire, je suis perfectionniste, mais sensible, surtout.J'ai peur que ça ne plaise pas, peur de dire n'importe quoi.
Je sais, je ne devrais pas, on clame qu'il faut se foutre de l'avis des autres et vivre pour soi. J'aime vivre, j'aime ce que je fais mais j'ai, quand même, toujours cette petite intuition qui me titille et me susurre que chez les autres, c'est plus joli, plus doux, mieux écrit.
J'ose pas vraiment, je préfère fuir le conflit, on m'a inculqué, petite, que la franchise est une qualité mais que parfois, il vaut mieux tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler. Je sais pas, c'est peut-être moi, c'est peut-être un peu naïf, mais j'ai tendance à tenter de voir le meilleur en chacun.
Et puis, c'est si facile de taper une insulte, une critique sur son clavier, je suis trop sensible.
Et j'admire ces filles qui passent au-dessus de ces insultes. C'est l'expérience, sûrement, qui permet de s'endurcir et moi, je suis toute petite dans l'immensité du web et je suis trop sensible.
Je vous embrasse,source image