Dans un contexte de suspicion grandissante vis-à-vis de l’innocuité des produits mis sur le marché, les ingrédients contenus dans les cosmétiques sont particulièrement montrés du doigt. Que ce soit dans la presse féminine, grand public ou scientifique, ils font la une. Cette défiance additionnée à la pression réglementaire qui se durcit, les marques se doivent d’anticiper les mutations de modes de consommation en matière de produits d’hygiène beauté.
« sans paraben », « sans trichlosan », « sans silicone », etc. Le suffixe « sans … » devient un argument de vente et de valorisation des produits. Comment va évoluer cette tendance ? Faut-il revoir la composition des produits ? Quelle est la proportion de dermatologues convaincus des risques ?
Pour mieux comprendre les nouveaux modes de consommation et les mécanismes de prescription, BVA Santé lance le premier baromètre de la Cosmétovigilance qui croise les regards des dermatologues et des consommateurs. Odile Peixoto, directrice de BVA Santé, nous livre les fondements de cette nouvelle étude inédite. Lire la suite
« sans paraben », « sans trichlosan », « sans silicone », etc. Le suffixe « sans … » devient un argument de vente et de valorisation des produits. Comment va évoluer cette tendance ? Faut-il revoir la composition des produits ? Quelle est la proportion de dermatologues convaincus des risques ?
Pour mieux comprendre les nouveaux modes de consommation et les mécanismes de prescription, BVA Santé lance le premier baromètre de la Cosmétovigilance qui croise les regards des dermatologues et des consommateurs. Odile Peixoto, directrice de BVA Santé, nous livre les fondements de cette nouvelle étude inédite. Lire la suite