De mon côté, je teste la nouvelle huile démaquillante lissante anti-teint-terne-anti/oxi dont la bouteille est verte.
Alors, qu’est-ce que ce démaquillant culte vendu toutes les 30 secondes dans le monde a-t-il dans le ventre?
L’huile démaquillante mode d’emploi.
La particularité de cette huile est qu’elle s’applique sur une peau sèche. Si vos mains ou votre visage sont mouillés, l’huile ne démaquillera pas votre visage.
On la frotte donc sur une peau bien sèche. Une fois que votre mascara sera liquéfié et que vous en aurez sur le nez, les joues et partout sur les mains (!), vous pouvez émulsionner avec de l’eau. Et là, c’est magique: l’huile devient blanche et passe d’une texture huileuse à une crème légère qui se rince très facilement.
Les promesses de Shu Uemura:
« La 1ère huile démaquillante Shu Uemura anti-pollution, teint éclatant. Elle élimine 96% des agents polluants responsables du vieillissement cutané, réduit l’apparence des imperfections pour un grain de peau plus fin, un teint sublime et une peau éclatante de santé. »
Promesses tenues?
Je ne saurais dire si ma peau est plus éclatante depuis que j’utilise l’huile démaquillante lissante anti teint terne anti-oxi de Shu Uemura. Aucun changement probant, donc. En même temps, à quoi voit-on que notre peau est débarrassée de la pollution?
Je reconnais par contre qu’elle démaquille parfaitement, venant à bout des mascaras et eye-liners les plus tenaces.
Elle est douce et extrêmement agréable au toucher.
C’est une huile à la texture légère qui ne laisse pas de film gras sur la peau.
Une fois démaquillée, ma peau est souple et ne présente aucun tiraillement.
L’odeur de plantes du produit est peu prononcée.
Des défauts?
Beaucoup plus de qualités que de défauts pour ce démaquillant. La perfection n’existant cependant pas, deux points m’ont gênée:
D’abord, le démaquillage à sec. Parce que tous les matins, je me démaquille sous ma douche. C’est mon rituel dont je ne peux me passer pour commencer ma journée. Et du coup, cette huile ne peut rentrer dans ma routine démaquillage du matin.
Aussi, avant de me démaquiller, je me lave toujours soigneusement les mains. Il faut vraiment bien les sécher avant d’attaquer le démaquillage, sous peine de devoir tout recommencer. J’ai donc du revoir mes réflexes. Fini le démaquillage les mains mouillées.
La seconde chose à noter pour le démaquillant anti Oxi de Shu Uemura est sa composition, de nombreuses fois décriée par les utilisatrices du produit. En effet, on relève comme premier ingrédient de la paraffine. Or la paraffine est réputée pour son effet comédogène, parce qu’elle bouche les pores et reste à la surface de la peau. On élimine donc la pollution pour nous coller une huile minérale sur la face. Mouaip.
J’ai une peau normale à tendance sèche. Depuis 3 mois environ, ma peau est très peu sujette aux imperfections parce que j’utilise une routine de soin simple, éliminé le fond de teint etc. J’explique toutes mes astuces en détail dans ce billet. Je remarque cependant une recrudescence des imperfections depuis une dizaine de jours. Je ne peux par contre affirmer que l’huile démaquillante en serait la cause. Je vous dirais mon verdict d’ici 2 semaines.
Une dernière chose que je rajouterais concernant cette huile est bien sûr son prix élevé: la verte, celle que j’utilise, coûte 44€. A la base, je n’aurais pas payé ce prix pour un démaquillant. Elle m’a été offerte par Hélène et Shu Uemura. Mais maintenant que je l’ai entre les mains, je pense que je la rachèterais. Pourquoi? Parce qu’au rythme auquel le produit descend dans la bouteille, à raison de deux pompes d’huile par démaquillage, j’ai de l’huile démaquillante pour encore 6 mois!
Et que dans l’ensemble, je suis vraiment satisfaite par ce démaquillant.
Alors, tentées? Et pour celles qui l’utilisent, peau « éclatante de santé » ou plutôt gros boutons en vue?!
Je vous laisse, mon chocolat chaud et mon petit chat m’attendant sous le plaid! A très vite ♥