Hello tout le monde !
Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman La dernière allumette de l’autrice Marie Vareille.
♥ = Bof bof, à éviter
♥♥ = Sympa, sans plus
♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !
♥♥♥♥ = A lire absolument !
♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !
Les (♥) représentent les demis
L’image provient de mon instagram.
Nombre de pages: 336 pages
Maison d’édition: Charleston
Date de parution (dans cette édition): 4 mars 2024
4ème de couverture:
Depuis plus de vingt ans, Abigaëlle vit recluse dans un couvent en Bourgogne. Sa vie d’avant ? Elle l’a en grande partie oubliée. Elle est même incapable de se rappeler l’événement qui a fait basculer sa destinée et l’a poussée à se retirer du monde.
De loin, elle observe la vie parisienne de Gabriel, son grand frère, dont la brillante carrière d’artiste et l’imaginaire rempli de poésie sont encensés par la critique. Mais le jour où il rencontre la lumineuse Zoé et tombe sous son charme,
Abigaëlle ne peut s’empêcher de trembler, car elle seule connaît vraiment son frère…
Un trésor de sensibilité et d’émotions brillamment construit. Marie Vareille démontre une nouvelle fois son talent unique pour nous tenir en haleine de la première à la dernière page.
Finaliste du Prix Maison de la Presse
Finaliste du Prix Audiolib
Mon avis:
Abigaëlle est une jeune femme qui a fait vœu de silence et qui vit recluse dans un couvent en Bourgogne. Son frère Gabriel, qui a toujours été très protecteur avec elle, vient lui rendre visite très régulièrement pour lui raconter sa vie.
A la maison, lorsqu’ils étaient enfants, ils ont été témoins de la violence de leur père envers leur mère. Par conséquent , lorsque Abigaëlle apprend que la compagne de son frère, Zoé, est enceinte, elle craint le pire. En effet, personne ne connaît Gabriel autant qu’elle…
Le jour où Gabriel m’a annoncé que Zoé attendait un bébé n’est pas un bon souvenir, je n’ai pas envie de m’étendre sur le sujet. Je croyais que rien ne pouvait plus m’arriver au fin fond de mon couvent. Mais j’avais oublié qu’on ne peut se sentir en sécurité nulle part, quand on a passé son enfance à être terrifiée par ceux qui auraient dû nous protéger.
La dernière allumette, de Marie Vareille, page 128.
Un roman choral qui parle avec beaucoup de sensibilité des traumatismes de l’enfance et des violences conjugales, quelles soient physiques ou psychologiques.
Un roman poignant et brillamment construit où l’horreur de la situation se dévoile peu à peu jusqu’au final qui est bouleversant.
Tout le monde a-t-il droit au bonheur ou à une deuxième chance?
J’ai terminé ce roman comme en apnée tant il m’a happée et n’ai pu m’empêcher de pleurer à la fin tant je m’étais attachée aux personnages.
Un énorme coup de cœur qui confirme que Marie Vareille est en passe de devenir l’une de mes autrices préférées