J’ai lu: Deus in Machina de John Scalzi

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Deus in Machina de l’auteur John Scalzi. Il est – entre autres – l’auteur de la série le vieil homme et la guerre que j’adore et plus récemment de l’excellentissime La société protectrice des Kaijus !

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon instagram.

J’ai Deus Machina John Scalzi

Nombre de pages: 144 pages

Maison d’édition: L’Atalante

Date de parution (dans cette édition): Juin 2011

4ème de couverture:

 » L’heure était venue de fouetter le dieu. Le capitaine Ean Tephe entra dans la chambre divine, un coffret en filigrane laqué dans les mains. Il découvrit un acolyte qui perdait son sang et le dieu à plat ventre sur son disque de fer, les chaînes tendues à bloc. La bouche écrasée contre le métal, le dieu ricanait en se passant la langue sur ses lèvres rougies. Un prêtre se tenait au-dessus de lui, à l’extérieur du cercle de confinement. Deux autres acolytes étaient adossés à la paroi, terrifiés.  » Voici le dieu dans la machine. Vous pouvez dire vos prières. Par l’auteur du Vieil Homme et la Guerre, un étonnant roman de science fantasy noire.

Mon avis: 

Dans un monde à la fois futuriste et rétrograde, où les hommes ont une foi aveugle en leur Seigneur et où les plus petits Dieux sont asservis et utilisés pour faire voler leurs vaisseaux spatiaux grâce à leur puissance, le capitaine Ean Tephe va peu à peu comprendre que lui et tout son peuple sont manipulés.

Un livre de Science-Fiction original de par son sujet qui fait réfléchir aux dérives de l’ultra religion.

John Scalzi est fidèle à lui-même et continue à construire des ponts entre le fantastique et notre réalité.

Le rythme est haletant et le style truculent, la plume toujours truffée d’un second degré plus que bienvenu.

Un court roman très bien écrit qui est une bonne porte d’entrée à l’univers de l’auteur (même si sa fin est un peu frustrante!) .

Ma note: ♥♥♥♥J’ai Deus Machina John Scalzi