Hello tout le monde !
Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman L’appel de la forêt suivi de Le fils du Loup de l’auteur Jack London.
♥ = Bof bof, à éviter
♥♥ = Sympa, sans plus
♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !
♥♥♥♥ = A lire absolument !
♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !
Les (♥) représentent les demis
L’image provient de mon instagram.
Nombre de pages: 412 pages
Maison d’édition: France-Loisirs pour l’édition présente
Date de parution (dans cette édition): 2019 (première édition de l’appel de la forêt: 1903, le fils du loup: 1900)
4ème de couverture:
L’appel de la forêt
Admiré par tous et choyé par son maître, le chien Buck n’a vraiment pas de raison de se méfier des humains.
Un homme va pourtant l’arracher à son foyer, un autre va lui enseigner la dure loi du plus fort.
Devenu chien de traineau, Buck découvre les rivalités qui déchirent la meute, dont il fait maintenant partie. Alors que Buck s’éloigne de la civilisation, une voix venue de la forêt éveille dans sa mémoire l’appel de la nature, puisant, irrésstible…
Le Fils du Loup
Un chasseur de rennes qui choisit pour épouse la fille d’un farouche chef indien…
Des voyageurs égarés dans le Grand Silence Blanc…
Une dispute entre trappeurs qui tourne au duel…
Un chercheur d’or en fuite traqué par la police montée..
le cadre impitoyable et grandiose du Grand Nord canadien…
Mon avis:
J’avais un peu peur de trouver ces textes un peu « vieillots » et contre toute attente j’ai beaucoup aimé l’écriture de l’auteur que j’ai trouvée très immersive et plutôt moderne.
Dans l’appel de la forêt, nous allons suivre le chien de ferme Buck qui va passer de maître en maître (certains plutôt corrects et d’autres franchement maltraitants) et qui va devoir devenir – à cause de sa solide constitution- un chien de traîneau au Yukon (Canada).
C’est un livre très touchant sur la vie de ces fiers et courageux animaux que sont les chiens – en général et plus particulièrement – de traîneaux et la dure vie de labeur qui est la leur entre fatigue, mauvais traitements et malnutrition.
J’ai été très touchée par Buck qui, malgré tous ses déboires, arrive encore à s’attacher à son dernier maître, mais qui peu à peu se sent appelé par la vie sauvage, une existence sans contrainte aucune à part celle de survivre.
Un très beau roman qui m’a fait voyager !
Dans le fils du loup, l’auteur nous raconte plusieurs histoires de destins croisés et nous montre la vie des chercheurs d’or, leur manière de commercer avec les autochtones et de leur « voler » leurs plus belles femmes en les épousant.
Un récit intéressant historiquement parlant même si les façons de faire de l’époque étaient vraiment discutables.
J’ai largement préféré l’appel de la forêt que j’ai trouvé plus palpitant. J’ai toutefois apprécié la plume de Jack London et j’ai bien vie de lire Martin Eden qui est inspiré de sa vie trépidante!