Hello tout le monde !
Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Clara lit Proust de l’auteur Stéphane Carlier. Il s’agit de la deuxième lecture que j’ai dû faire dans le cadre du Festival du LÀC 2023 🙂
♥ = Bof bof, à éviter
♥♥ = Sympa, sans plus
♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !
♥♥♥♥ = A lire absolument !
♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !
Les (♥) représentent les demis
L’image provient de mon instagram.
Nombre de pages: 192 pages
Maison d’édition: Gallimard
Date de parution (dans cette édition): 1er septembre 2022
4ème de couverture:
« Proust. Avant, ce nom mythique était pour elle comme celui de certaines villes – Capri, Saint-Pétersbourg… – où il était entendu qu’elle ne mettrait jamais les pieds. »Clara est coiffeuse dans une petite ville de Saône-et-Loire. Son quotidien, c’est une patronne mélancolique, un copain beau comme un prince de Disney, un chat qui ne se laisse pas caresser. Le temps passe au rythme des histoires du salon et des tubes diffusés par Nostalgie, jusqu’au jour où Clara rencontre l’homme qui va changer sa vie : Marcel Proust.
Mon avis:
Un roman écrit comme un hommage à l’œuvre du grand Marcel Proust. On y suit Clara, jolie jeune femme, coiffeuse de métier, qui se prend un peu par hasard de passion pour l’écriture de Marcel Proust à la lecture de la saga « à la recherche du temps perdu ».
Grâce à ces livres, Clara va s’échapper de son quotidien planplan et va oser s’épanouir et sortir de sa zone de confort. La langue foisonnante de Proust va la faire s’évader et voir le monde d’une autre manière, tout comme la lecture à voix haute va la faire sortir de sa bulle de timidité et la laisser s’affirmer.
Oser clamer haut et fort son amour de la lecture et d’autant plus de la lecture de romans classiques qui sont souvent perçus comme « ennuyants ».
J’ai aimé toute cette partie du roman même si je l’ai trouvée un peu courte, les tribulations dans le salon de coiffure m’ont semblées être un peu du remplissage, un peu aussi comme si Clara valait mieux que les autres car elle lit Proust, ce qui est totalement faux.
Bref, un roman qui se laisse lire (et qui se lit très très vite) – et dont j’ai apprécié le thème – mais qui ne va pas me laisser un souvenir impérissable.